Le commencement du  mot  est un acte difficile: c’est la sortie  du silence

                                                        Roland Barthes

                                           

 Francisco da Cunha (Brazilia)

 

      Qu'est-ce que  je peux affirmer, lecteur, devant la page blanche? Qu’elle soit simplement blanche, qu'elle n’a été pas obscurcie par l’impitoyable  nouveau  texte, qu’elle symbolise  le silence de ceux qui souffrent, enfin,  Que puis- je   affirmer devant la page blanche? La douleur d’Ernest Hemingway (1899-1961)? Le silence d‘un  poète du Piauí, nommé Da Costa e Silva (1885-1950) qui a écrit le plus beau sonnet sur la souvenir en langue  portugais  d’ici et au-delà de mers?

   Pourquoi un écrivain peut-il avoir peur de la page  blanche si elle n’est pas cette baleine  blanche de Moby Dick (1851) de Herman Melville (1819-1891)? Ce qui dirais-je devant la page blanche par rapport aux  peu de romances d’ O. G.de Cavalho (1930-2013), un de lequels,  si je ne me trompe pas,  Ulisses entre o amor e a morte (Ulisse  parmi l’amour et la mort, 1989) l’auteur   le reformulait ou modifiait jusqu’ extrême? Ou bien,  comme a fait-il un autre  auteur de fiction  consiste Raduan Nassar qui a publié son  premier roman,  Lavoura  arcaica( Labourage archaique (1975) et seulement  plus deux  romans. Ou bien aussi un autre  auteur, cette  fois un  poète,  né  à Piauí, qu’ avait  produit  beaucoup dans ce genre littéraire, des  annés de 1970 jusqu’ environs 1990 . Plus tard,  peu il a publié dans un temps de vie encore  produtive. Ce sont des faits littéraires qu’on ne sait pas  élucider   complètement. Quel dommage!

   La  douleur de la page  blanche  se trouve  plus poignant  lorsqu’on  voit  quelques écrivains laisser d’écrire autre livres  ou même perdre l'intérêt pour l’activité littéraire, en préférant  vivre la vie naturelle.Voici une question  de nature  du phénomène littéraire qui bien  pourrait être  élucidé  dans le champs de recherches  sur les donnés statistiques des auteurs  qui  ont  renoncés,  par une  raison  ou  d’ autre   nature,  à l’activité d’écrivain dans en déterminé genre, selon j’ai déjà souligné en lignes  précédentes.

    D’ailleurs,  une écrivaine  américaine du  passé, après  avoir publié ses livres avec beaucoup de succès, est arrivée à avouer qu'elle aurait été plus heureuse et utile  si elle, au contraire,  n’avait pas se dédiée tant à la littérature. Selon cette écrivaine,  elle avait perdu  beaucoup de temps   que pourrait être vécu  avec plus de  plaisir. Comme cet exemple,  il y a probablement  plusieurs d'autres auteurs  qui ont laissé  d’écrire.

    Ne seraient-t-ils les poèmes,  le  contes, les romans, la dramaturgie  les pages blanches de tous ceux qui sont allés pour l’éternité et surement  quand tant d’eux avaient  plus de faire littérairement? On peut citer, par exemple,  un autre  de l’état  du Piauí, le poète, traducteur, historien littéraire, essayst  et critique littéraire, Mário Faustino (1930-1962), qui a mouri dans un  accident aérien encore très jeune.

  D‘autre part, la page blanche serait,  par hasard,  le silence d'un écrivain devant les iniquités commises par nouvelles gents (non nécessairement par son âge) liés viscéralement à la politique brésilienne, les soi-disants,  mauvais hommes qui débutent et, trop tôt, commencent à foudroyer ce que dans l’État Brésilien était correct et qu’il ne configurait  pas un rétrogradation néfaste dans les   sphères cruciaux au développement  du  pays, une espèce   de tsunami féroce, raguer et  grossier sou le nom d’un allégé  état de calamité financière d’un pays qui encore  maintient les mêmes  privilèges aux hauts échelons courtisans et aux trois  pouvoirs formulés par Montesquieu (1689-1751), si bien que  en  beaucoup de cas  échoués ou déformés dans la  pratique (praxis).

    La  page blanche serait synonyme de silence et celui-ci, selon j’ai ou des mots d’une éminent  professeur de philosophie d'éducation,  arrive à un  point d’être possible déclarer l’impossibilité d’absence de silence. Ce qui veut dire: il est  impossible de communiquer devant  quelques situations vécues.  

    C’est -à-dire  le silence possède quelque chose  d’éloquence contre, par exemple,  actions  trompées et précipitées avec la tentative de racheter le “!trou noir” de hautes    dépenses  faites  par ceux qui exercent des mandats  politiques en Brasilia, District  Fédéral.  L’ironie  de  cette situation  esdruxule   est le manque de dignité selon laquelle  les bénéficiés  du gouvernement fédéral jettent les fautes des dépenses de l’Etat  sur la Prévoyance Social, c’est-à-dire, la culpabilité  pour cette  situation financière  provoqueé par les grossiers  dépenses  du gouvernement retombent, au fin, sur les retraités du secteur privés. C’est un absurde des authorités fédéraux.

   À ça, le système politique n’a perdu pas les privilèges ni  il  veut  pas  en  perdre e dividant le sacrifices de ceux qui  sont choisis cyniquement, pour être le bouc émissaire de mauvaises actions pratiquées par les vieux et les nouveaux groupes des hommes qui sont  dans le pouvoir, maintenant  et aussi  dans les annés passés, surtout les politiques. L’engrenage  de la politique est très fort, puissante et il est très difficile de la modifier.  Le problèmes  est très complexe   parce  que les lois sont faites par les politiciens , donc,  ils ont les mandats  riches en   privilèges . Ils sont  élus par  un vote livre  da la société.  

   Cependant,  cette prérogative ne leur donnent  pas le droit de déformer l’esprit de lois  et, pourtant,  durant les campagnes politiques,   ils ne peuvent pas  faire  avec le montant  d’argent  destiné aux dépenses de  campagnes pour  dévier part de l’argent  public  pour  les appelés “caisse deux,” originaire de forts  groupes économiques (lobbies) ou même  d’argent  public destiné en lois déterminé  par  le Tribunal Électoral  seulement  pour  les campagnes. Peut-être que ce type de  pratique   illicite est possible d’être   encore en  usage.

     Mais, retournant à la question de la page en blanche,   il n’y a pas comme  être absentéiste dans la politique  comme énormément, durant quelque temps, on ‘ a supposé que l’écrivain    Machado de Assis (1839=1908)), le plus célèbre romanciste  brésilien de tous temps,   l'ait  été considéré. Une grosse  erreur.  Seulement,  plus tard, avec la publication  du  livre  de Brito Broca (1903-1961)),  titré Machado de Assis e a  política  e outros  études (Machado de Assis et la   politique), nous  percevons que Machado  n’était  pas  de tout un absentéiste. Au  contraire, Brito Broca  nous a  démontré  que les récits de Machado, aussi bien que ses   chroniques  et  contes  révèlent  un auteur   vraiment   familiarisé avec  des  problèmes sociaux  et  politiques du temps du Second Empire   brésilien    sous le command d’empereur   Dom Pedro  II.(1825-1891)) nous révèlent  que, dans les    oeuvres de Machado,   ce qu’on pourrait plus vérifier  sont des thème de nature  politiques, sociaux –  des component-clefs de ses  récits. Ces traits  sont  évidents dans le plot des ses créatives et bien  tramées   narratives De même façon,  on peut  parler de la critique   marxiste   de l’écrivain  Astrogildo Pereira 1890-1965)(), que a aussi  étudié profondément les oeuvres de Machado  dans son livre  titré Interpretações (Interpretations,1944). Plus prochain de nous, un autre  critique  marxiste, Roberto Schwarz a  écrit des importants  essais sur  des aspects sociaux et  politiques dans  les oeuvres de Machado de Assis: Ao vencedor,  as batatas (1977), Um mestre na periferia do capitalismo (Un maître dans la périphérie du capitalisme (1990).

   La page  blanche - je reprends - si elle est silence,  elle peut être un silence temporaire, ou,  qui sait, définitive dépendant des circonstances  de la vie de  chaque auteur, journaliste, traducteur, chroniste  etc. Nous ne  l'interprétons seulement  comme un  puits qui se trouvé  vide, parce que son  filet d’eau  qui le  rend  fertile et utile à la vie de beaucoup de gens se répand.

    Il n’y pas d’explications suffisantes parce que, dans l’âme de l’artiste, il y a mille explications afin  que la page blanche  restât  blanche  attendant  par quelque chose  qui fasse du texte une chose biensante et  semeur d’espoir autant que  que audacieux dans les invectives  devant les dérèglements des hommes da  la Terre.

  La page blanche  est un moment d'expectative  d’arrière-garde de remarques attentives devant la réalité qui se montre  hostile à la douleur des injustices m des soi-disants humbles et offensés des  privés du gâteau toujours ajourné aux affamés qui se trouvent au-dessous de la ligne de la pauvreté,  même quando  bine prochain spatialement des metrópoles  où le brille des riches  qui  éblouissent ceux  qui demandent d’aliment, de maison,  d’emploi.

   Il n’ y   pas  à la page blanche  un espace pour les grandes  luttes contre la forme démesurée des riches et de supposés vivants menant un bonne  vie pleine d’avantages  dionysiaques et moralement fétides et  inhumains.

  La page blanche, donc, serait égale à un combat en silence, souterrain,  exempt des ennemis de mensonges, aujourd’hui  des plagues épandues de la babel  bruyante de la communication des peuples comme les fake news – pathologie  social  dégénérative des  piliers des vérités géminées et auspicieuses qu'ont  s’emparées de la l’humanité servil aux interests subalternes du financierement globallizé  comme s’ il fût possible  confondre  positivement globalization  mauvaise  avec humanité  saine.

  La page blanche  n’est  pas la défaite de la germination des idées et d'éloignement pusillanime devant  le défis du  non progrès, de la  rétrogradations culturelle, artistique, educational, social.  juridique,  économique, financière et technologique des conquètes sociaux  et luttes  contre les préjudices de toutes espèces surtout contre l’injustice  de quiconque.

  La page blanche est  une pause devant ce qui n’est pas possible  d'accepter comme  condition  de vie  immutable d’un pays  devant l’esprit fripon de  individues ou de groupes fendant  bienveillance   mais pratiquant  une forme  de faire le bien  quando vraiment  ils font le contraire  des  leurs discours  machiavéliques.