La page blanche
Por Cunha e Silva Filho Em: 09/05/2024, às 14H58
Le commencement du mot est un acte difficile: c’est la sortie du silence
Roland Barthes
Francisco da Cunha (Brazilia)
Qu'est-ce que je peux affirmer, lecteur, devant la page blanche? Qu’elle soit simplement blanche, qu'elle n’a été pas obscurcie par l’impitoyable nouveau texte, qu’elle symbolise le silence de ceux qui souffrent, enfin, Que puis- je affirmer devant la page blanche? La douleur d’Ernest Hemingway (1899-1961)? Le silence d‘un poète du Piauí, nommé Da Costa e Silva (1885-1950) qui a écrit le plus beau sonnet sur la souvenir en langue portugais d’ici et au-delà de mers?
Pourquoi un écrivain peut-il avoir peur de la page blanche si elle n’est pas cette baleine blanche de Moby Dick (1851) de Herman Melville (1819-1891)? Ce qui dirais-je devant la page blanche par rapport aux peu de romances d’ O. G.de Cavalho (1930-2013), un de lequels, si je ne me trompe pas, Ulisses entre o amor e a morte (Ulisse parmi l’amour et la mort, 1989) l’auteur le reformulait ou modifiait jusqu’ extrême? Ou bien, comme a fait-il un autre auteur de fiction consiste Raduan Nassar qui a publié son premier roman, Lavoura arcaica( Labourage archaique (1975) et seulement plus deux romans. Ou bien aussi un autre auteur, cette fois un poète, né à Piauí, qu’ avait produit beaucoup dans ce genre littéraire, des annés de 1970 jusqu’ environs 1990 . Plus tard, peu il a publié dans un temps de vie encore produtive. Ce sont des faits littéraires qu’on ne sait pas élucider complètement. Quel dommage!
La douleur de la page blanche se trouve plus poignant lorsqu’on voit quelques écrivains laisser d’écrire autre livres ou même perdre l'intérêt pour l’activité littéraire, en préférant vivre la vie naturelle.Voici une question de nature du phénomène littéraire qui bien pourrait être élucidé dans le champs de recherches sur les donnés statistiques des auteurs qui ont renoncés, par une raison ou d’ autre nature, à l’activité d’écrivain dans en déterminé genre, selon j’ai déjà souligné en lignes précédentes.
D’ailleurs, une écrivaine américaine du passé, après avoir publié ses livres avec beaucoup de succès, est arrivée à avouer qu'elle aurait été plus heureuse et utile si elle, au contraire, n’avait pas se dédiée tant à la littérature. Selon cette écrivaine, elle avait perdu beaucoup de temps que pourrait être vécu avec plus de plaisir. Comme cet exemple, il y a probablement plusieurs d'autres auteurs qui ont laissé d’écrire.
Ne seraient-t-ils les poèmes, le contes, les romans, la dramaturgie les pages blanches de tous ceux qui sont allés pour l’éternité et surement quand tant d’eux avaient plus de faire littérairement? On peut citer, par exemple, un autre de l’état du Piauí, le poète, traducteur, historien littéraire, essayst et critique littéraire, Mário Faustino (1930-1962), qui a mouri dans un accident aérien encore très jeune.
D‘autre part, la page blanche serait, par hasard, le silence d'un écrivain devant les iniquités commises par nouvelles gents (non nécessairement par son âge) liés viscéralement à la politique brésilienne, les soi-disants, mauvais hommes qui débutent et, trop tôt, commencent à foudroyer ce que dans l’État Brésilien était correct et qu’il ne configurait pas un rétrogradation néfaste dans les sphères cruciaux au développement du pays, une espèce de tsunami féroce, raguer et grossier sou le nom d’un allégé état de calamité financière d’un pays qui encore maintient les mêmes privilèges aux hauts échelons courtisans et aux trois pouvoirs formulés par Montesquieu (1689-1751), si bien que en beaucoup de cas échoués ou déformés dans la pratique (praxis).
La page blanche serait synonyme de silence et celui-ci, selon j’ai ou des mots d’une éminent professeur de philosophie d'éducation, arrive à un point d’être possible déclarer l’impossibilité d’absence de silence. Ce qui veut dire: il est impossible de communiquer devant quelques situations vécues.
C’est -à-dire le silence possède quelque chose d’éloquence contre, par exemple, actions trompées et précipitées avec la tentative de racheter le “!trou noir” de hautes dépenses faites par ceux qui exercent des mandats politiques en Brasilia, District Fédéral. L’ironie de cette situation esdruxule est le manque de dignité selon laquelle les bénéficiés du gouvernement fédéral jettent les fautes des dépenses de l’Etat sur la Prévoyance Social, c’est-à-dire, la culpabilité pour cette situation financière provoqueé par les grossiers dépenses du gouvernement retombent, au fin, sur les retraités du secteur privés. C’est un absurde des authorités fédéraux.
À ça, le système politique n’a perdu pas les privilèges ni il veut pas en perdre e dividant le sacrifices de ceux qui sont choisis cyniquement, pour être le bouc émissaire de mauvaises actions pratiquées par les vieux et les nouveaux groupes des hommes qui sont dans le pouvoir, maintenant et aussi dans les annés passés, surtout les politiques. L’engrenage de la politique est très fort, puissante et il est très difficile de la modifier. Le problèmes est très complexe parce que les lois sont faites par les politiciens , donc, ils ont les mandats riches en privilèges . Ils sont élus par un vote livre da la société.
Cependant, cette prérogative ne leur donnent pas le droit de déformer l’esprit de lois et, pourtant, durant les campagnes politiques, ils ne peuvent pas faire avec le montant d’argent destiné aux dépenses de campagnes pour dévier part de l’argent public pour les appelés “caisse deux,” originaire de forts groupes économiques (lobbies) ou même d’argent public destiné en lois déterminé par le Tribunal Électoral seulement pour les campagnes. Peut-être que ce type de pratique illicite est possible d’être encore en usage.
Mais, retournant à la question de la page en blanche, il n’y a pas comme être absentéiste dans la politique comme énormément, durant quelque temps, on ‘ a supposé que l’écrivain Machado de Assis (1839=1908)), le plus célèbre romanciste brésilien de tous temps, l'ait été considéré. Une grosse erreur. Seulement, plus tard, avec la publication du livre de Brito Broca (1903-1961)), titré Machado de Assis e a política e outros études (Machado de Assis et la politique), nous percevons que Machado n’était pas de tout un absentéiste. Au contraire, Brito Broca nous a démontré que les récits de Machado, aussi bien que ses chroniques et contes révèlent un auteur vraiment familiarisé avec des problèmes sociaux et politiques du temps du Second Empire brésilien sous le command d’empereur Dom Pedro II.(1825-1891)) nous révèlent que, dans les oeuvres de Machado, ce qu’on pourrait plus vérifier sont des thème de nature politiques, sociaux – des component-clefs de ses récits. Ces traits sont évidents dans le plot des ses créatives et bien tramées narratives De même façon, on peut parler de la critique marxiste de l’écrivain Astrogildo Pereira 1890-1965)(), que a aussi étudié profondément les oeuvres de Machado dans son livre titré Interpretações (Interpretations,1944). Plus prochain de nous, un autre critique marxiste, Roberto Schwarz a écrit des importants essais sur des aspects sociaux et politiques dans les oeuvres de Machado de Assis: Ao vencedor, as batatas (1977), Um mestre na periferia do capitalismo (Un maître dans la périphérie du capitalisme (1990).
La page blanche - je reprends - si elle est silence, elle peut être un silence temporaire, ou, qui sait, définitive dépendant des circonstances de la vie de chaque auteur, journaliste, traducteur, chroniste etc. Nous ne l'interprétons seulement comme un puits qui se trouvé vide, parce que son filet d’eau qui le rend fertile et utile à la vie de beaucoup de gens se répand.
Il n’y pas d’explications suffisantes parce que, dans l’âme de l’artiste, il y a mille explications afin que la page blanche restât blanche attendant par quelque chose qui fasse du texte une chose biensante et semeur d’espoir autant que que audacieux dans les invectives devant les dérèglements des hommes da la Terre.
La page blanche est un moment d'expectative d’arrière-garde de remarques attentives devant la réalité qui se montre hostile à la douleur des injustices m des soi-disants humbles et offensés des privés du gâteau toujours ajourné aux affamés qui se trouvent au-dessous de la ligne de la pauvreté, même quando bine prochain spatialement des metrópoles où le brille des riches qui éblouissent ceux qui demandent d’aliment, de maison, d’emploi.
Il n’ y pas à la page blanche un espace pour les grandes luttes contre la forme démesurée des riches et de supposés vivants menant un bonne vie pleine d’avantages dionysiaques et moralement fétides et inhumains.
La page blanche, donc, serait égale à un combat en silence, souterrain, exempt des ennemis de mensonges, aujourd’hui des plagues épandues de la babel bruyante de la communication des peuples comme les fake news – pathologie social dégénérative des piliers des vérités géminées et auspicieuses qu'ont s’emparées de la l’humanité servil aux interests subalternes du financierement globallizé comme s’ il fût possible confondre positivement globalization mauvaise avec humanité saine.
La page blanche n’est pas la défaite de la germination des idées et d'éloignement pusillanime devant le défis du non progrès, de la rétrogradations culturelle, artistique, educational, social. juridique, économique, financière et technologique des conquètes sociaux et luttes contre les préjudices de toutes espèces surtout contre l’injustice de quiconque.
La page blanche est une pause devant ce qui n’est pas possible d'accepter comme condition de vie immutable d’un pays devant l’esprit fripon de individues ou de groupes fendant bienveillance mais pratiquant une forme de faire le bien quando vraiment ils font le contraire des leurs discours machiavéliques.